g

CAMP   SPELEO   à  la  PIERRE   SAINT   MARTIN

2007

 

 

INTRODUCTION

 

Le franchissement, en août 2003, de la trémie du Phou Dingue de Mendibeltza (PDM) avait relancé les explorations dans le gouffre AN8 et réactivé le vieux rêve d’atteindre par là le maillon manquant calé entre la trémie aval terminale du système d’Anialarra et la trémie amont terminale du collecteur de l’AN8 (-570)…

Pendant 4 ans, de 2003 à 2006 un réseau complexe de près de 1500 m est exploré au prix de multiples désobstructions et escalades… Mais malgré tous ces efforts la voie vers le système d’Anialarra n’a pas été ouverte… Pourtant, le violent courant d'air circulant dans la trémie du PDM laisse encore supposer une relation entre les 2 cavités…

Heureusement, après la déception dans l’AN8, la campagne 2006 s’était conclue par une belle surprise avec la découverte d’une nouvelle cavité, l’AN26.

Cette cavité présente pas mal d’atouts et parait très prometteuse…
Elle est située dans le fond du fossé d’Anabarcandia entre la salle Prébende de l’AN8 (au nord) et à environ 150 m du collecteur d’Anialarra (au sud).
Ensuite, elle se présente comme une cavité majeure du secteur : grand puits à partir de – 50 et présence d’un fort courant d’air aspirant…
Par ailleurs, le point bas (-226) est déjà à une altitude (alt 1490 m) très proche de l’altitude du fossile terminal du réseau d’Anialarra (alt 1475).
Enfin, le fossile découvert à -170 prend une direction sud–est qui écarte l’hypothèse pessimiste d’une relation avec le méandre Noir de l’AN8…

Le camp 2007 s’annonçait donc sous les meilleurs auspices !
En parallèle de l’objectif majeur que représente le gouffre AN26 d’autres objectifs étaient programmés :
D’une part la prospection systématique des zones situées au-dessus du collecteur supposé. Et d’autre part la révision de cavités et en particulier l’A101, l’A104 et l’A106…

 


 

PARTICIPANTS

 

 

Bernard BENOIT,Colin, Eric et Véro BOYER, Myriam CASSARD, Michel CAZALS, Anne-Marie DANTIN, Claire DELFIEUX, André ESPINASSE, Bernard PIART, Christian et Didier RIGAL, Pierre SOLIER et Hervé TEYSSEDRE (MJC RODEZ), Patrick BOUTIN, Maixent LACAS (Alpina MILLAU), Franck et Frédo ARAGON, Laurent LAFON (Aragonite Caussenarde MILLAU),David DIEZ, Inaki LATASA, Oscar QUINTELA, Yolanda VILORIO (GAES BILBAO), Laurent RICHARD (individuel Savoie), Jun KOIKE et Keiko MAKISHIMA (SC Tokyo), Vincent MATHIEU et Philippe THERONDEL (SC Capdenac), Philippe GUEYDON (Club Résurgence Aven Diaclase), José GAMBINO et Ritxi GARCIA (SC Burnia), Gotzon et Mikel ARANZABAL, Maite EUBA, Pedro URIBARRI (Grupo Ades), Christian ROUX.

 

 

 

 

Prospection

 

 

 

 


 

Les  RECHERCHES

 

 

Les explorations dans l’AN26 commencent par des aménagements de confort et la mise en sécurité de plusieurs passages...

Puis dès le premier jour nous avons la surprise de sonder un grand vide au sommet d’une petite escalade à
-55... De belles tailles, ces puits parallèles (les puits « Allez Léa ») descendent sur un dénivelé total de 94 m. Le point bas est obstrué et diverses escalades ne permettent pas de trouver une suite à ce nouveau réseau.

Au point bas de -226, la première reconnaissance permet de constater que le courant d’air aspirant est très sensible et un écho annonce un puits… 2 séances de désobstruction permettent d’atteindre un puits de 9 m mais en bas un nouveau méandre étroit vient stopper la progression… Cependant, à la faveur d’un affluent, le courant d’air aspirant est renforcé et il est donc décidé de poursuivre la désobstruction… Ainsi, une vingtaine de mètres sont gagnés à la fin du camp d’été et le point bas de la cavité est porté à –242… Le niveau de base devrait se trouver logiquement environ 40 m plus bas et il est évident que nous ne tarderons pas à déboucher sur un nouveau puits !…

En parallèle, la trémie au bas du P18 de la galerie fossile (-197) est attaquée… Rapidement nous descendons de plusieurs mètres et le courant d’air aspirant descendant dans les blocs prouve qu’une suite existe par là aussi... Cependant la désobstruction devient problématique et il est nécessaire de sortir de gros blocs avant de pouvoir élargir le terminus…
Toujours dans ce fossile, les recherches se portent aussi dans les plafonds et l’escalade d’un puits remontant butte sur une trémie (-167). La topographie indique une relation probable avec le point bas (-148) des puits « Allez Léa ».

Pendant ce temps, en surface, le travail de prospection avance chaque jour au rythme d’un à deux carrés de 100 m sur 100 m. Cette fouille minutieuse permet de repérer de nombreux départs, certains sont terminés et d’autres sont à revoir... Déjà 2 cavités s’avèrent très intéressantes du fait de la présence d’une circulation d’air : l’AN35 et l’AN37. Et plus particulièrement cette dernière, une glacière où la fonte partielle du névé a dégagé un passage exhalant un fort courant d'air... Aux terminus de ces 2 cavités des désobstructions sont entamées…
Enfin, la prospection permet de retrouver l’A106, beau puits de 75 m exploré dans les années 70. Des pendules sont effectués, mais aucune suite n’est rencontrée…

Nous revenons à l’automne au cours de 3 petits séjours : fin septembre, fin octobre et début novembre.

Les explorations dans l’AN26 sont poursuivies : le méandre terminal (méandre de Sysiphe) s’allonge et refuse toujours de descendre vers le niveau de base !...  La côte terminale en fin de camp est à la côte -248. Heureusement le fort courant d’air aspirant, bien que glacial, maintient la motivation !...

Dans l’AN37, fin septembre, le névé a complètement disparu et au terminus (-28) la désobstruction dans un boyau encombré de blocs est poursuivie…

Par ailleurs, la prospection du mois d’août avait permis de sonder au fond d’un petit ressaut de 4 m un nouveau ressaut de 5 m avec un léger courant d’air. En octobre cette cavité (AN39) est à nouveau visitée et après plusieurs désobstructions, la côte – 40 est atteinte. Le terminus est impénétrable.

Enfin nous retrouvons l’A104, gouffre exploré dans les années 70 et dans lequel nous avions trouvé un puits parallèle en 1997. Mal positionné sur la carte, nous avons eu des difficultés pour le localiser… En novembre, deux nouvelles descentes sont effectuées pour fouiller à nouveau cette belle cavité. La suite semble malheureusement compromise…

Le dernier jour du camp la prospection permet de découvrir l’AN40, large entrée à priori non connue (non marquée). Le fond est obstruée à -15.


 

 

 

AN26 : P8 à -40

  



AN 26 : galerie fossile (-170)

 


 

L’AN 26

L’orifice de cette cavité est situé sur une petite croupe lapiazée, en bordure des fonds herbeux d’Anabarcandia… Une brève désobstruction en 2006 a permis de descendre le premier petit ressaut de 2 m et de sonder le premier puits de 18 m…

Ce puits s’élargit à -10 mais en bas, une pente d’éboulis ne laissait que peu d’espoir... Mais à l’aplomb de la corde, la désobstruction d’une diaclase sur 5 m a permis d’ouvrir la suite. Il faut donc désescalader 2 ressauts de 5 et 7 m dans une étroite fracture aux parois délitées. Tout ce secteur a été aménagé en 2007 pour enrayer les chutes de pierres…
Heureusement à -35, la cavité débouche dans le plafond d’un beau méandre aux parois bien érodées… Avant la descente dans le méandre, un boyau fossile mène à un puits remontant d’une dizaine de mètres de haut. Celui-ci correspond probablement à la doline lapiazée située à l’ouest de l’entrée.
Le méandre amont est impénétrable (courant d’air descendant) et prend la direction de la grande dépression voisine de l'entrée (au nord).
En aval, le méandre est très pentu et débouche sur un large puits de 8 m. Nous sommes à la base d’une grande cheminée qui remonte sur environ 20 m. Ensuite, un nouveau puits s’amorce dans le méandre. Après 16 m de descente, on peut progresser aisément à l’horizontale jusqu’à une étroiture triangulaire (-70).
Derrière, un grand puits s’ouvre : c‘est le puits des Milladious (30 m)… A gauche, une galerie fossile remontante mène aux  puits « Allez Léa ». Un fort courant d’air en descend…
La descente s’effectue d’abord sur un plan incliné, puis une verticale de 20 m nous dépose au bas d’un large méandre. A l’aplomb de la corde une ouverture étroite dans le sol avale les pierres vers le vide suivant... Une galerie descendante y fait suite et au bout de quelques mètres un grand vide s’amorce sous les pieds… C’est le puits des Jumeaux (85 m).
Un premier jet de 45 m se présente jusqu’à un palier. Là, une vire permet de trouver le hors crue et la dernière partie de 40 m est fractionné en trois. L’ensemble de ce puits est magnifique et les dimensions sont honorables (5 à 8 m de diamètre)…
En bas, un méandre d'1 m de large se jette dans un nouveau puits de 16 m. Les dimensions sont plus réduites mais restent confortables… Une nouvelle verticale de 15 m se présente et au bas de celle-ci (-226) un méandre étroit marque le terminus de 2006. Long d’une quinzaine de m, il débouche sur un petit puits de 9 m.
Là, à -241, débute un long méandre de 70 m de long qui mène au terminus actuel (-248). Le méandre de Sisyphe est parcouru par un fort courant d’air aspirant. Plusieurs petits affluents le rejoignent : le premier, au tout début, est rapidement impénétrable et apporte un courant d’air notable. Puis à 25 et 35 m, 2 cheminées ont été remontées sur 25 m de hauteur (arrêt sur passage impénétrable)…

Les puits « Allez Léa » :
A partir de l’étroiture triangulaire (-70), une remontée d’une dizaine de m permet d’accéder à une lucarne s’ouvrant sur un vaste puits de 29 m. Ce puits remonte au moins sur une vingtaine de mètres (escalade faite). En bas du puits, on prend pied dans une galerie de 3 m de large encombrée de gros blocs. Celle-ci remonte jusqu’à la base d’un puits.
La suite se situe au pied de la corde où un court soupirail donne accès à un puits de 65 m. Il s’évase rapidement pour atteindre de belle dimensions (15 X 4). Ce puits est incliné et la descente s’effectue le long d’un surcreusement coupé par plusieurs paliers.
Le bas du puits est une longue fracture d’1 m de large avec un point bas à -148 obstrué par des cailloutis. Une escalade de 10 m permet d’accéder à un petit réseau de faible développement.

Le fossile de -170 :
A –65 dans le P85, au niveau d’un dédoublement de cette verticale, un grand pendule permet d’atteindre le fossile ; un parcours horizontal d’une trentaine de mètres dans une galerie de 2 à 4 m de large (pour 2 à 3 m de haut) mène à un premier puits de 10 m, borgne. L’équipement d’une longue vire est nécessaire pour accéder à un grand puits parallèle de 18 m. Le fond du puits (4 X 6) est obstrué et la seule possibilité est un passage entre la paroi et des gros blocs où le courant d’air est aspiré… La désobstruction a permis de descendre de quelques mètres (côte -200)…
Au sommet du P18, un puits remontant escaladé sur 10 m bute sur une trémie de gros blocs (-168). Le fond des puits « Allez Léa » est 20 m au-dessus...

Les explorations 2007 ont ajouté 222 m de galeries nouvelles. Le développement topographié de la cavité est de 609 m.


 

AN 26 (Puits des Jumeaux)

 

AN 26 (Puits Allez Léa)

 


 

 

LES NOUVELLES CAVITES :

 

AN 35 : X : 680397  Y : 4757509  Z : 1677
Cavité découverte le 2 août 2007. Une entrée de 50 cm de diamètre donne sur un petit ressaut de 4 m. Le fond est bouché mais la suite se trouve en hauteur dans un nouveau ressaut où l’on sent nettement le courant d’air (intermittent). Une désobstruction permet de descendre de 5 m dans une diaclase d’1,5 de large mais obstruée à -10. Une nouvelle désobstruction a été entamée au point bas.

AN 37 : X : 680535  Y : 4757588  Z : 1746
Cette cavité est située en bordure du sentier serpentant dans le fond d’Anabarcandia. Elle est probablement connue depuis longtemps comme puits à neige. En août 2007, le névé s’est abaissé de 10 m et un nouveau puits de 7 m parallèle s’ouvre sur une suite intéressante… Une étroiture élargie (bien ventilée) donne accès à un nouveau ressaut de 8 m. Le bas est obstrué mais un boyau encombré de petits blocs semble être la suite (- 29).
Cette cavité est située quasiment à l’aplomb de l’axe du collecteur inconnu et très proche de la trémie amont du collecteur de l'AN8.

AN 38 : X : 681135  Y : 4757601  Z : 1733
Cavité découverte le 30 juillet 2007 et descendue le 5 août 2007 après désobstruction. Il s’agit d’une étroite fracture s’élargissant vers -10. Obstruée à -15 (pas de courant d’air notable).

AN 39 : X : 680517  Y : 4757549  Z : 1737
Cavité déjà vue jusqu’à -4 par nos prédécesseurs (rond rouge) et repérée en août 2007 (courant d’air intermittent). Une première désobstruction permet de descendre un ressaut de 5 m au fond duquel un puits de 11 m est sondé. Après plusieurs séances de désobstruction celui-ci est descendu. En bas, un nouveau puits étroit de 18 m se termine sur départ de boyau impénétrable (ressaut de 2 m sondé). Le courant d’air est soufflant (novembre 2007).

AN 40 : X : 680076  Y : 4757521  Z : 1643
Cavité découverte le 5 novembre 2007 et située à 50 m de l’AN37. Grande entrée de 5 X 7 et profonde de
15 m. Au bas de la pente d’éboulis seule l’amorce d’un sommet de méandre laisse deviner une possible continuation. Le travail de désobstruction parait cependant important.

 

Entrée AN35

 
 

 
 

 

Glacière AN 37

 

 

AN 40


LES CAVITES REVISEES :

 

AN 36 : X : 680535  Y : 4757588  Z : 1746
Cavité déjà explorée et retrouvée en août 2007 (Marquée avec un simple rond rouge). S’ouvre dans une grande fracture à 20 m de l’AN39. A -20 le fond est obstrué (pas de courant d’air).

 

A 104 : X : 680700  Y : 4757624  Z : 1730
Cavité découverte et explorée dans les années 1970. Nous l’avions visité en 1997 et avions exploré un réseau parallèle. Revue en 2007 car il s’agit d’une cavité avec des volumes importants…
Bel orifice de 3 m de diamètre sur un petit lapiaz perché. Un premier puits de 20 m est suivi d’un 2ème de 10 m donnant sur une salle (10 X 4). Ensuite un dernier puits de 10 m marquait le terminus des années 70.
Le réseau parallèle s’ouvre dans la salle au niveau d’un effondrement de strates où le courant d’air est notable. Un amont se termine sur une petite salle et après avoir enjambé un petit vide, un puits de 15 m se présente. Etroit sur les 5 premiers mètres, il s’élargit ensuite nettement avec l’arrivée de 2 puits remontants. Le fond est obstrué et sans suite évidente (- 40).

 

A 106 : X : 680200  Y : 4757407  Z : 1648
Cavité découverte et explorée dans les années 1970. Située dans les zones à arbres feuillus, la prospection de l’été 2007 permet de le retrouver. Il s’agit d’un grand puits de 85 m avec des lucarnes sans suite. Le fond est complètement bouché.

 

 

A 106

 


 

 

A 104

 

Les premières neiges…

 


CONCLUSION

 

Beaucoup d’effort encore cette année et toujours pas de belles découvertes à nous mettre sous la dent… C’est en résumé le sentiment de l’équipe à la fin du séjour 2007… !

Mais avec le temps les amertumes s’effacent (!) et l’AN26 représente encore à nos yeux une cavité prometteuse... Nous tenons peut-être là l’entrée basse du système d’Anialarra qui permettrait un formidable accès pour les équipes travaillant sur le système… Il serait donc dommage de nous arrêter là !...

Dans le système d’Anialarra, nos collègues de l’interclubs d’Anialarra ont réussi à shunter le siphon aval de la rivière du Capitaine Haddock (siphon Dupont -727). Les explorations de l’année 2007 se sont terminées sur une trémie à la côte -734 (alt 1420) qui avale le violent courant d’air aspirant… Il reste maintenant 1100 m à vol d’oiseau à parcourir jusqu’à la trémie amont de l’AN8 pour un dénivelé de 280 m.

Alors, si on tient compte des connaissances actuelles, quelles sont les hypothèses possibles (et non exhaustives !) pour la suite de l’AN26 ?

Concernant le courant d’air aspirant présent à -248 (alt 1475), il semble à peu près sûr qu’il rejoigne le collecteur d’Anialarra… Celui-ci est distant d’environ 170 m à vol d’oiseau et en toute logique les courants d’air doivent converger pour poursuivre leur chemin plus en aval. Ensuite, il n’est pas exclu que tôt ou tard le courant d’air remonte vers la surface … En effet au niveau de la trémie amont de l’AN8 le courant d’air ne semble pas  ressortir… Mais ce n’est peut-être qu’une hypothèse pessimiste…

Ensuite, si on observe la synthèse topographique du secteur, on peut penser qu’un affluent important venant de l’Est se greffe au collecteur. Il existe une large bande sans réseau connu, située entre le M413 et l’affluent Tintin (système d’Anialarra). Dans cette hypothèse, l’AN26 pourrait lui être tributaire et la confluence se situerait en aval du terminus actuel (août 2007) du système d’Anialarra…

Enfin, comment peut-on expliquer le fait que l’AN26 ne descende pas rapidement vers le niveau de base ? Nous sommes probablement en présence d’une tête de réseau locale qui va descendre tout doucement jusqu’à un drain majeur… Dans ce cas il faut espérer l’arrivée de petits affluents qui finiront par rendre le passage pénétrable !...

Toujours dans l’AN26 le fond du fossile représente encore une suite possible : le travail est délicat et hasardeux mais le courant d’air aspirant peut justifier de nouvelles tentatives…

 

Bien entendu l’AN26 n’est certainement pas la seule cavité pouvant rejoindre le collecteur et la prospection systématique devra donc être poursuivie…

En 2007, une quinzaine de carrés de 100 sur 100 ont été fouillés et beaucoup de travail reste à faire… D’une part certaines cavités repérées en 2007 doivent être revues et d’autre part de nombreux carrés bien placés au-dessus du collecteur supposé n’ont pas été prospectés récemment. Parmi les cavités à revoir la glacière AN37 représente un bon espoir…

 

Malgré les déceptions les recherches sur ce maillon manquant restent passionnantes et le massif continuera toujours à nous faire rêver !... Avec un peu de chance ça finira bien par payer un jour !...

 


 

 

Fin de camp…

 

2
AN 26 Plan-2007.pdf
application/pdf 127,73 KB  
3
A106.pdf
application/pdf 597,26 KB  
4
AN37.pdf
application/pdf 596,02 KB  
5
AN39.pdf
application/pdf 588,72 KB  
6
AN 26 Coupe-2007.pdf
application/pdf 129,26 KB  
7

Topo Anialarra - AN8 2007.pdf

(réalisation Paul de Bie)

application/pdf 376,36 KB